Découverte fortuite de la fibrillation auriculaire
Par hasard, j’étais justement chez le cardiologue pour un contrôle lorsque j’ai commencé à ressentir des palpitations. Il a immédiatement réalisé un électrocardiogramme. C’est ce qui lui a permis d’établir le diagnostic de fibrillation auriculaire. Tous les trois mois environ, la fibrillation se manifeste durant quelques heures. Pendant ces crises, je sens mon cœur vibrer dans ma poitrine et je dois uriner très souvent. On m’a déjà fait prendre plusieurs types de médicaments censés empêcher l’apparition d’une nouvelle crise, mais les crises continuent de se produire à la même fréquence.
Depuis que mon cardiologue a diagnostiqué la fibrillation auriculaire, je prends des anticoagulants. Pour éviter tout risque de thrombose cérébrale.
Des palpitations qui arrivent à l'improviste
En début d’année, j’ai eu une crise qui n’est pas passée. J’ai dû être emmené à l’hôpital pour recevoir un choc électrique et j’y ai passé la nuit. Depuis lors, je n’ai plus eu de nouvel épisode. Mais je continue à prendre mes médicaments scrupuleusement car ces palpitations sont particulièrement inquiétantes et angoissantes. Cela me tombe dessus à l’improviste. Parfois, elles me réveillent en pleine nuit et j’ai peur que mon cœur s’arrête. Heureusement, mon médecin m’a rassuré: arrêt cardiaque et fibrillation auriculaire n’ont pas de rapport.