Le verdict du prick-test
"Dès les premiers beaux jours, chaque fois que je mettais le nez dehors, mes yeux se mettaient à larmoyer, mon nez à couler... J'avais fini par renoncer au maquillage car c'était une vraie catastrophe. Après avoir longtemps mis ces symptômes sur le compte de rhumes à répétition, je me suis décidée à consulter. Le médecin m'a fait passer un prick-test. En quelques minutes, nous avons identifié le coupable: j'étais allergique aux pollens de bouleau."
Ne plus redouter le printemps
"Le médecin m'a proposé un traitement de désensibilisation. Trois ans après, je peux dire que je suis réellement guérie et que j'ai gagné en qualité de vie. Ce qui a changé? Le printemps n'est désormais plus la période la plus fatigante de l'année!"