Les tumeurs neuro-endocrines sont classées selon plusieurs critères:
Article réalisé avec la collaboration du Pr Verslype (UZ Leuven)
Les cancers du côlon sont fréquents avec 6 à 7000 nouveaux cas par an en Belgique. En comparaison, les tumeurs neuro-endocrines digestives sont des tumeurs relativement rares. On estime leur incidence à 3 ou 4/100.000 habitants par an. Cela veut dire que chaque année, en Belgique, entre 300 et 400 personnes développent une tumeur neuro-endocrine digestive.
L'âge moyen de diagnostic se situe autour de 65 ans. Comme ce sont des maladies avec des symptômes peu typiques, il faut parfois plusieurs années entre l'apparition du cancer et le diagnostic. Ces tumeurs neuro-endocrines digestives sont des tumeurs d'évolution lente. Ce qui explique aussi pourquoi il faut parfois plusieurs années pour en faire le diagnostic. Beaucoup de ces cancers sont, en effet, diagnostiqués à un stade avancé: plus de 50% des tumeurs ont déjà métastasé au moment du diagnostic ou sont trop grosses pour pouvoir être enlevées chirurgicalement.
Il n'est pas rare que ces tumeurs soient diagnostiquées par hasard au cours d'un examen digestif, comme une colonoscopie, réalisé pour une autre raison.
Article réalisé avec la collaboration du Pr Verslype (UZ Leuven)
Si les cancers pulmonaires sont fréquents, les tumeurs neuro-endocrines des voies respiratoires sont, par contre, rares. Elles sont encore plus rares que les tumeurs endocrines digestives puisqu'elles ne touchent que deux personnes par million d'habitants par an. En d'autres termes, 20 à 30 nouveaux patients chaque année en Belgique.
L'âge moyen d'un patient atteint d'une tumeur neuroendocrine pulmonaire se situe entre 50 et 60 ans mais des patients très jeunes peuvent être touchés (15 ans) et d'autres beaucoup plus âgés.
L'évolution de ces tumeurs neuro-endocrines pulmonaires est variable. Elle dépend notamment de l'agressivité du cancer (cancer plus ou moins bien différencié). Ce sont souvent des cancers d'évolution lente. Pour certains d'entre eux, le pronostic est particulièrement optimiste avec une survie à 10 ans de plus de 90% des patients.
Article réalisé avec la collaboration du Pr Verslype (UZ Leuven)
Les recherches menées par Teun Siebers, doctorant à l'UvA (Universiteit van Amsterdam) , confirment aujourd'hui que les jeunes sont davantage distraits lorsqu'ils utilise...
Lire la suite«Les cétones sont présentes en chacun de nous», explique Chiel Poffé, physiologiste de l'exercice. Depuis une dizaine d'années, il étudie les effets des corps cétoniques...
Lire la suiteLes responsables de la santé publique sont de plus en plus préoccupés par la consommation d'alcool des Américains âgés. Selon des données récemment publiées par les Cente...
Lire la suiteL'étude, publiée dans la revue Science, montre que certaines cellules des voies respiratoires sont réduites en miettes lors d'une crise d'asthme. Ces cellules constituent...
Lire la suiteSi elle aime flâner dans les librairies, Carole est aussi une femme d’action. Elle pratique des activités sportives et adore plus que tout s’occuper de son petit-fils.
Jean apprécie parcourir Bruxelles à vélo, notamment pour y retrouver ses amis. Toutes les occasions sont bonnes pour lui de faire la fête et de rire!
Le Dr Xavier Van der Brempt, pneumologue et allergologue à Waha et à la Clinique Saint-Luc à Bouge (Allergopôle), fait le point sur la conjonctivite printanière.
La Dr Françoise Guiot, dermatologue et fondatrice du Centre médical Saint-Georges à Grez-Doiceau, revient sur les bons gestes à poser en cas de blessure aiguë.
Pour le nourrisson, choisir la bonne eau est plus délicat que chez l’adulte. La Dr Émilie Poitoux, pédiatre, nous en dit plus.
Cancer de l'estomac
Covid-19
Dégénérescence maculaire liée à l’âge (DMLA)
Greffe d'organes
Leucémie myéloïde chronique
Mélanome
Oeil infecté, irrité ou sec
Vessie hyperactive